Adapté de la nouvelle La Vénus d’Ille de Prosper Mérimée, le scénario de Masque a reçu deux récompenses au festival de Montélimar et au festival du Cinéma Européen de Lille.
Une petite ville française, en 1835.
Raphaël travaille comme mouleur de masques mortuaires. S’il a un jour nourri de plus larges ambitions, celles-ci sont abimées par le temps, l’alcool, la drogue.
Une nuit, il se rend au manoir des Peyrehorade ; la jeune Rose s’est rompue le cou à quelques jours de son mariage. Le père de la morte a une curieuse requête : le masque mortuaire doit être retravaillé, afin que personne ne voie jamais le véritable visage de la jeune fille.
Lorsque Raphaël se présente au chevet de Rose, il ne lui trouve aucune marque de l’accident. La jeune fille est d’une beauté exceptionnelle, mais une expression mauvaise subsiste sur tous ses traits.
Le sculpteur développe dès lors une fascination pour Rose, et particulièrement pour le masque qu’il a moulé sur son visage…
Raphaël travaille comme mouleur de masques mortuaires. S’il a un jour nourri de plus larges ambitions, celles-ci sont abimées par le temps, l’alcool, la drogue.
Une nuit, il se rend au manoir des Peyrehorade ; la jeune Rose s’est rompue le cou à quelques jours de son mariage. Le père de la morte a une curieuse requête : le masque mortuaire doit être retravaillé, afin que personne ne voie jamais le véritable visage de la jeune fille.
Lorsque Raphaël se présente au chevet de Rose, il ne lui trouve aucune marque de l’accident. La jeune fille est d’une beauté exceptionnelle, mais une expression mauvaise subsiste sur tous ses traits.
Le sculpteur développe dès lors une fascination pour Rose, et particulièrement pour le masque qu’il a moulé sur son visage…